J’ai suivi une formation initiale de psychothérapie à l’E-faculté de Psychologie et de Psychanalyse d’Aix-en-Provence.
Depuis, ma formation professionnelle s’est enrichie. Je me suis spécialisée dans :
Comme l’exigent les règles de déontologie de ma profession, j’ai moi-même réalisé une analyse de plusieurs années en amont de ma pratique et je suis régulièrement supervisée.
Parallèlement, je continue d’exercer en milieu scolaire. Cela me permet de rester au fait des contraintes scolaires des enfants et d’élaborer des stratégies en temps réel pour les élèves porteurs de troubles.
La psychothérapie et la psychanalyse servent à aider un enfant qui ne va pas bien en lui permettant de s’exprimer par le biais du jeu, de la parole et de remonter la cause du problème via l’analyse. Je m’occupe d’enfants avec ou sans troubles (DYS, haut potentiel intellectuel, trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité…).
« L’important est que l’enfant continue de se voir comme faisant partie de la solution, pas du problème » (Faber & Mazlish)
De la naissance à l’âge adulte, l’enfant passe par une foule de bouleversements qui, s’ils sont répétés ou intenses, peuvent affecter sa structure psychique et son estime de lui :
Mes principaux outils thérapeutiques sont le travail analytique, le jeu et le dessin.
L’objectif ? Aider l’enfant à repérer ses émotions, notamment désagréables, le guider dans leur élaboration et l’accompagner dans le processus de guérison pour lui permettre de se sentir mieux.
La volonté de bien faire est palpable. Mais, entre l’injonction « l’enfant est une personne » (Françoise Dolto), l’éducation positive, la crainte de ne pas mettre assez de cadre (ou d’en mettre trop) et la peur de « l’Enfant-roi », il est difficile pour les parents actuels de s’y retrouver !
La guidance parentale est une aide aux parents (que la famille soit nucléaire, séparée ou recomposée) à comprendre les besoins physiques et psychiques de leur enfant.
Je vous accompagne à toutes les étapes de vie de votre enfant :
Chaque parent vient au monde en même temps
que son premier enfant » (Ernst Kramer)
Parfois, même en cherchant dans l’anamnèse (l’histoire de vie d’un patient), rien ne permet de comprendre son mal-être actuel.
La psychogénéalogie part du postulat qu’un individu ne nait pas vierge, mais porteur d’un héritage familial parfois trop lourd à porter. Plusieurs indices peuvent indiquer la présence d’un traumatisme transgénérationnel :
Quand les patients sont mineurs, le travail de psychogénéalogie se fait en thérapie systémique, avec les parents.
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